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Journée de reconnaissanceChaque année, le dernier jeudi de novembre est un jour férié aux Etats-Unis. C’est une journée très fêtée dans toutes les familles pour exprimer à Dieu sa reconnaissance. L’origine de cette fête remonte aux premiers arrivants en Amérique du Nord qui désiraient dire merci à Dieu pour les récoltes et sa protection. Cette fête familiale est l’occasion de se retrouver autour d’un repas composé de plats traditionnels et de chanter pour remercier Dieu de ses bienfaits. Cette attitude de reconnaissance m’interpelle. Combien souvent nous rouspétons quand quelque chose ne va pas et nous oublions d’être reconnaissants quand tout va bien ! Quand tout va bien dans notre famille, nous trouvons cela normal. Etre en bonne santé, pouvoir nous déplacer et communiquer facilement nous semble ordinaire. Et pourtant, toutes ces choses sont des privilèges dont nous jouissons. Prenons un peu de temps cette semaine pour réfléchir et dire MERCI à Dieu pour les grandes et les petites choses qu’il nous a données dans sa bonté, pour ses bienfaits dans la vie quotidienne. Cela semble tout simple, mais ne nous est pas forcément naturel. Prenons le temps de nous souvenir des bienfaits de Dieu et parlons-en à notre famille, à nos amis. Lorsque je prends conscience de toutes les bonnes choses que Dieu nous donne, je suis encouragé et stimulé à poursuivre ma route. Dire merci à Dieu, c’est aussi reconnaître sa bienveillance et réjouir son cœur. Dieu a été bon pour nous et il le restera toujours, car il ne change pas. (A.P.) Lecture biblique proposée : Luc chapitre 17 : versets 11 à 18 Texte extrait du calendrier Trésors cachés avec l’autorisation de Médias Service Diffusion http://msd-online.ch/ Retrouvez le texte de la semaine passée dans le Sujet Méditation |
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Le supermarché du religieuxIl existe aujourd'hui une sorte de supermarché du religieux. Divers mouvements nous proposent des moyens, méthodes ou techniques, pour faire une expérience spirituelle avec Dieu, pour que Dieu soit en nous, ou tout simplement pour que nous nous sentions bien. Chacun peut aujourd'hui se faire sa petite religion à son goût, avec les ingrédients qui lui conviennent. Dans ce supermarché, tous les produits religieux ont en commun de nous inciter à nous sauver nous-mêmes. Cela se résume finalement à des recettes pour mieux vivre notre présent, un mélange de mystico-psycho-religieux qui n'a rien à voir avec ce que Dieu nous révèle par la Bible. Dieu nous invite à une rencontre avec lui. Mieux encore, il désire entrer lui-même en nous afin que de cette rencontre jaillisse en nous la vie qui vient de lui. Une relation faite de respect et d'amour pourra alors commencer entre lui et nous. Il existe qu'un seul moyen de rencontrer Dieu afin qu'une relation d'amour entre lui et moi débute. Et ce moyen s'appelle la grâce. Dieu veut me faire grâce pour toutes mes fautes et mes péchés parce qu'il m'aime. La grâce, c'est une faveur que je ne mérite pas, mais que Dieu veut m'accorder parce que Jésus a été condamné à ma place, a payé pour moi le prix que mes fautes méritaient. Si je cherche à être approuvé de Dieu par mes bonnes actions ou la pratique d'une religion, je ne rencontrerai jamais Dieu. Si je compte sur la grâce de Dieu et la reçois, je rencontre Dieu et j'obtiens de lui la vie éternelle. (A.P.) Lecture biblique proposée : Tite chapitre 3: versets 4 à 7 Retrouvez le texte de la semaine passée dans le Sujet Méditation |
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La force du courantLors de la visite de la ville de Bâle en Suisse, nous avons eu l'occasion d'emprunter une grosse barque qui fait la navette entre les deux rives du Rhin. Ce moyen de transport public permet de traverser le fleuve sans moteur, sans voile et sans rame. Le bateau se place obliquement par rapport au courant de l'eau et c'est ce courant qui la pousse vers l'autre bord. On ne le remarque pas au premier coup d'oeil, mais il y a un câble jeté à une certaine hauteur en travers du fleuve. La barque est reliée à ce câble par un système de poulie et peut donc ainsi utiliser la force du courant pour rejoindre l'endroit où on l'attend. S'il n'y avait pas de câble, la barque serait emportée n'importe où. Retrouvez le texte de la semaine passée dans le Sujet Méditation |
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Le serpent gigogneAu Laos, un médecin de l'OMS visitait un jour un village. Devant une maison, il vit un homme qui venait de tuer un grand serpent de trois mètres. De la gueule sortait un petit bout de la queue d'un autre serpent qu'il venait d'avaler. L'homme tira dessus et en sortit un autre serpent d'un mètre de long. Il ouvrit le ventre de ce serpent et y trouva un troisième serpent déjà en partie digéré. Cette description peu sympathique nous montre un animal prêt à mordre et à tuer tout ce qui se présente à lui, y compris ceux de son espèce. Retrouvez le texte de la semaine passée dans le Sujet Méditation |
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Prévoir les réservesDans l'océan Indien où nous habitons, la zone tropicale australe connaît un certain nombre de tempêtes et cyclones chaque année de décembre à avril. Au début de la saison, les familles sont encouragées à faire quelques réserves d'eau et de nourriture, mais aussi de bougies et de piles électriques pour avoir de quoi se débrouiller en cas de besoin. Ne manquer de rien est la préoccupation de chacun, car on ne peut pas prévoir l'ampleur des conséquences après un cyclone.
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